Comme mes collègues l’ont rappelé, il y a deux semaines que nous suivons l’avancée des troupes russes et que nous assistons à l’exode des civils ukrainiens. Heureusement, une partie d’entre eux ont réussi à prendre la route et à nous rejoindre, mais beaucoup n’ont pas eu cette chance. En outre, des Russes luttent contre cette guerre dans leur propre pays et j’espère que nous pourrons aussi leur venir en aide.


Comment la coordination au niveau bruxellois, notamment avec la haute fonctionnaire de l’arrondissement de Bruxelles, les services et les administrations, s’organise-t-elle ?

S’agissant de la répartition des compétences, comment sont fixées les limites de l’action des communes et de la Région que l’accueil des réfugiés reste une matière prioritairement
fédérale ?

Dans le même ordre d’idées, je partage la préoccupation de Mme Austraet : comment éviter que cet élan de solidarité éminemment louable ne se transforme en discrimination à l’égard d’autres demandeurs d’asile dont nous avons maintes fois évoqué, dans cette assemblée, la situation précaire ?

 

Retrouvez mon intervention et la réponse du Secrétaire d’État sur le site du Parlement bruxellois.