Ce samedi, dans un parc à Beveren, un homme de 42 ans, David Polfliet, a été piégé, puis assassiné par trois adolescents. Si David a été tué, ce n’est pas parce qu’il était homosexuel, mais parce que des personnes n’admettent toujours pas la diversité des orientations sexuelles.

Ce crime homophobe est le deuxième dans notre pays. Nous nous souvenons tous de celui de Ihsane Jarfi survenu en 2012. Il existe toujours, en Belgique, une homophobie latente. Chaque jour, des personnes se font insulter ou harceler en raison de leur orientation sexuelle. En dix ans, plus de 1.500 cas ont été enregistrés. Et la réalité est encore plus alarmante, car beaucoup hésitent à porter plainte.

Quels sont les programmes de sensibilisation organisés par la Commission communautaire française sur les questions d’identité de genre et d’orientation sexuelle, en particulier à destination des jeunes ?

Comment l’amplification de l’EVRAS peut-elle constituer un vecteur efficace de discussion et d’information sur les orientations sexuelles ?

Comment les politiques de formation et d’accompagnement des travailleurs de première ligne peuvent-elles renforcer les espaces d’écoute ?

Retrouvez mon intervention et la réponse de la secrétaire d’état sur le site du Parlement francophone bruxellois